Et si vous vous laissiez tenter par une danse ?

Avant de vous parler de ce que j’ai lu pendant ce week-end de Pâques où je me suis éclipsée entre deux chocolats, je vous dois des excuses.

Je vous écris en retard et je ne vous ai toujours pas préparé ma newsletter sur les bouquins de Nicolas Demorand et Guillaume Brachet… je vous promets que ça vient, mais plus j’y pense, et plus j’ai envie de vous parler d’autres livres encore. Alors je prépare la lettre dans ma tête. Elle arrive bientôt jusqu’à vous.

Ce week-end donc, entre les festivités et les gourmandises de Pâques j’ai lu.

Notamment La révolte sans précédent de Guillaume Meurice et Sandrine Deloffre, chez Dargaud. Je ne le savais pas, mais cette BD tombe à pic. En effet, ma nièce nous plonge dans l’univers vegan. Je l’avais pourtant acheté pour les 16 ans de mon grand ado qui manie avec dextérité l’humour et qui s’intéresse aux sujets de société. Je vous laisse la lire et on en (re)parle ?

Et aussi Vivre tout bas de Jeanne Benameur chez Actes Sud. Que j’aime cette collection de livres au papier granuleux, qui tiennent dans la poche de mon imperméable, et qui pourtant prennent une place folle. Celui-ci en tout cas m’a transporté, des plages de galets aux oliviers sur la falaise, en passant par un village écrasé de chaleur mais emplit d’humanité. J’ai été surprise par ce mystère, envoûtée par ces histoires d’Hommes et de Femmes. Un texte à la fois si poétique, si doux et si lourd.

J’en ai profité pour continuer Ces orages-là de Sandrine Colette. Je ne l’ai pas encore fini. Il est prenant. Il se lit mais… il est dur. Heureusement, je sens poindre un rayon de soleil, faible. Enfin j’espère. Si vous l’avez lu, chut, ne me dites rien…

Et me revient alors en mémoire une citation attribuée à Sénèque.